Un 27 octobre à l'arboretum Gabrielis
Dans le parc du mont Saint-Bruno existe un lieu presque secret, connu seulement de quelques uns. De vieux arbres de partout s'y rassemblent pour y perpétuer la mémoire de leur jardinier, le breton Jean-Louis Seznec, rebaptisé frère Gabrielis.
Adjacent à l'allée principale, en bordure des grandes aires de pique-nique, l'endroit parvient néanmoins à se faire oublier des visiteurs. L'esprit de Seznec, inhumé à proximité, doit y être pour quelque chose. Ceux qui aiment les arbres n'ont pas besoin de le chercher; ils y seront attirés et tenus à l'abri de l'agitation ambiante, invisibles au regard des passants.
Adjacent à l'allée principale, en bordure des grandes aires de pique-nique, l'endroit parvient néanmoins à se faire oublier des visiteurs. L'esprit de Seznec, inhumé à proximité, doit y être pour quelque chose. Ceux qui aiment les arbres n'ont pas besoin de le chercher; ils y seront attirés et tenus à l'abri de l'agitation ambiante, invisibles au regard des passants.
Last call
L'hiver approche, les ressources se font rares, et ces actées à grappes - les dernières à fleurir - sont une aubaine pour les guêpes, moustiques, fourmis, coccinelles, mouches et autres insectes du jardin
Un 14 octobre dans le boisé du Tremblay
Du charme de Caroline, du houx verticillé, du bident penché, du concombre grimpant et des chiens sans laisse.
Le boisé du Tremblay est mort...
Vive le parc municipal du Tremblay !
Ce qui était un lieu délaissé par l'agriculture et renaturalisé, ce qui était un espace à soustraire à la convoitise des promoteurs immobiliers, ce qui était un réservoir à moustique pour les riverains, une "dump" pour les jardiniers du dimanche et une mosaïque de milieux naturels (marais, boisé, prairie) à préserver pour les naturalistes, ce qui était une "jungle" inhospitalière pour le banlieusard et un havre de paix pour les "sauvages", est finalement devenu un parc municipal où joggeurs, cyclistes et promeneurs de chiens pourront bientôt venir satisfaire leur instinct grégaire.
Le boisé en demandait-il autant ? Pas sûr.
Mais qu'on se rassure, d'après le communiqué de presse, tout cet abattage d'arbres, ce défrichage, ce tracé d'avenues, cet apport de toile géotextile et de tonnes de gravier, ce coulage de béton, cette installation de bancs publics et de passerelles monumentales en bois traité, tout cela a été fait dans le respect de l'environnement.
Apparemment, tout le monde n'a pas la même conception de l'écologie. Longueuil n'est pas Nature Action Québec et force est de constater que les moyens des uns (environ 2 millions de dollars canadiens) ne font pas aussi bien que la volonté des autres (voir Boisé du Tremblay dans la liste des sujets ci-contre).
Apparemment, tout le monde n'a pas la même conception de l'écologie. Longueuil n'est pas Nature Action Québec et force est de constater que les moyens des uns (environ 2 millions de dollars canadiens) ne font pas aussi bien que la volonté des autres (voir Boisé du Tremblay dans la liste des sujets ci-contre).
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