Pas grand chose au mont Saint-Bruno cet après-midi à part des traces d'écureuil gris, une pensée de plus en plus présente pour le Texas, bientôt, et un coyote, trop loin.
Deux degrés d'espoir
Marcher dans la neige avec des bottes d'hiver quand il fait deux au-dessus de zéro, c'est comme marcher pieds nus dans le sable sur une plage des Caraïbes. On se console comme on peut.
Drôle d'oiseaux
Chaque hiver, nous apercevons quelques cerfs de Virginie du côté sauvage de la clôture. Cette année, une bande de cinq, toujours les mêmes, vient nous visiter régulièrement. Il y a aussi un renard roux qui passe faire son tour. Nous avons pu constater que les cerfs s'en méfient. Pourtant, ils ne font pas partie de son régime alimentaire...en tout cas pas dans cet état.
L'installation des mangeoires n'est probablement pas étrangère à cette recrudescence de la faune: graines, oiseaux, rongeurs, brouteurs, carnassiers. Il ne reste plus que les chasseurs pour compléter la chaîne. Que le lobby se rassure; ils ne sont pas loin. 200 mètres seulement nous protègent des coups de fusils. Au-delà, le promeneur doit faire confiance à l'habileté et à l'intelligence des nemrods; autant dire que la vie ne tient à rien.
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