Un 10 mai dans le boisé du Tremblay

Grive solitaire

Cette année, c'est à se demander si les grives solitaires méritent bien leur nom tant il y en a; une question qui ne se pose ni pour l'érable rouge ni pour le chardonneret jaune.

Un 9 mai dans le boisé du Tremblay

Malgré un froid de canard, le boisé continue à se remplir de toutes sortes de choses: des feuilles, des fleurs et des oiseaux.

Moqueur chat
Érable à Giguère

Un 8 mai au Parc Michel Chartrand (Longueuil)


Profitant de l'incontournable changement de pneus bisannuel et plutôt que de risquer d'attraper la COVID dans la salle d'attente exiguë et mal ventilée du garage, je suis allé passer le temps au parc Michel Chartrand, non loin de là. C'est un beau parc qui sait résister à la pression des quartiers résidentiels tout autour, mais que je fréquente aussi peu que possible pour des raisons de distanciation sociale qui n'ont rien à voir avec la pandémie.
Malgré le froid et quelques flocons de neige, un grand héron se trempait le bout des pattes dans les étangs artificiels. Les couples de bernaches du Canada avaient profité du mauvais temps et du confinement pour envahir les mornes étendues gazonnées habituellement colonisées par les pique-niqueurs. N'étant pas chaussé pour m'aventurer dans les bois inondés, je me suis contenté de ce que je pouvais voir de la lisière: quelques oiseaux et une marmotte amphibie.

Grand héron
Grimpereau brun